Il y a 15 ans, l’ouverture du marché de l’énergie (électricité et gaz) au secteur privé (privatisation) avait été imposée au nom de la baisse des coûts et de la sainte concurrence « libre et non faussée » inscrite dans le traité européen que les Français avaient majoritairement rejeté en 2005. On allait voir ce qu’on allait voir. Les prix allaient prodigieusement diminuer.
Qu’en est-il aujourd’hui ?

 

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